On a également retrouvé des traces de l’existence du tatouage chez les peuples Celtes, Japonais, Égyptiens et bien-sûr Polynésiens. En ces temps reculés, le tatouage était plutôt synonyme d’identité ou de protection. Il était réservé aux personnes importantes comme les chefs de tribu ou les rois. Mais, il a aussi été très rapidement utilisé pour marquer les esclaves comme à Rome où l’on tatouait les criminels et les gladiateurs.
Après avoir presque disparu, le tatouage revient aux alentours du XVIIIe siècle****, au moment des grandes découvertes. Les explorateurs et les marins redécouvrent l’ornement polynésien, le “tatau“ qui a donné son nom à notre tatouage moderne.
Ils vont ensuite s’en emparer et se tatouer durant leurs longues heures de traversées. Chez les marins, le tatouage représente une histoire, une aventure vécue, une personne rencontrée.